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C’est aussi lui qui reçoit, traite et interprète tous les stimuli reçus par les différents sens. Il est donc un acteur clé dans nos émotions, nos réactions et nos choix comportementaux.

Finalement, plus votre cerveau est mis à l’effort, plus il y a de connexions neuronales qui se créent (synapses) et d’activité cérébrale qui nous gardent hors du déclin. C’est ce qu’on appelle la plasticité du cerveau.

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Tout d’abord, il est important de savoir que pour ‘’reprogrammer’’ notre cerveau, il faut que le même geste ou les mêmes efforts soient mis en place pour un minimum de 21 jours. À la suite de cela, le cerveau est en mesure d’assimiler la nouvelle information et l’appliquer au quotidien. Il faut donc de la constance et des efforts, mais c’est payant!

Alors, la première chose à faire est de vous trouver un temps dans la journée. Cela peut être au lever, avant le coucher ou pendant la sieste des enfants pour vous permettre de réfléchir et noter des éléments pour lesquels vous avez de la gratitude. Plus vous vous exercez à le faire, plus les idées vont venir facilement et cela vous permettra de voir ces petites victoires au quotidien. Si ce type d’exercice vous joint un peu moins, il est toujours possible de trouver un autre petit rituel qui vous fait du bien, mais que vous avez le temps de faire chaque jour. Tous les moyens sont bons, l’important c’est qu’ils reflètent le positif vécu dans la journée. 

Ensuite, le fait de prendre conscience des pensées négatives ou invalidantes que nous pouvons avoir est déjà un excellent début! Lorsque vous êtes en mesure de les identifier, il faut maintenant se mettre au travail pour les transformer. Les pensées négatives arrivent trop souvent en premier dans notre tête, car c’est beaucoup plus exigeant pour le cerveau de voir le positif d’une situation.

Prenons en exemple cette situation : aujourd’hui, j’ai perdu patience avec les enfants, je ne suis vraiment pas un bon exemple pour eux! Dans les faits, il peut y avoir des dizaines de raisons sur le pourquoi vous avez perdu patience.

On peut donc remplacer cette pensée par celle-ci : j’ai besoin de me reposer et de prendre soin de moi pour passer du temps de qualité avec les enfants. C’est en modifiant nos messages internes que nous avons un impact sur notre attitude, nos comportements et nos émotions.

En espérant que ces petits trucs puissent vous permettre de voir la vie un peu plus en rose… Bon entraînement!